Passeios suaves de bicicleta por Lx/Balades à vélo fluides autour de Lx

Bonjour chers amis!


Comme vous le savez, nous souhaitons transmettre à nos amis, autour d'un thème culturel, le plaisir de parcourir la ville à vélo et démontrer qu'il est également possible de s'y déplacer facilement et en toute sécurité.

Et comme j'ai l'idée que je suis architecte, je vais parler comme si j'étais à la table basse avec mes amis :)
  Alors:
Jusqu'à récemment, on pensait que la ville était conçue sur le bureau de l'architecte. Mais en 1972, la démolition du complexe résidentiel Pruitt-Igoe par le malchanceux Arch. Minoru Yamasaki (le même homme qui a conçu les Twin Towers), a été considérée par de nombreux théoriciens de l'architecture et de l'urbanisme comme le moment de prise de conscience que la ville devait être conçue. par des équipes multifonctionnelles (sociologues, économistes, géologues, historiens, investisseurs politiques...) respectant ainsi de nombreux aspects au-delà du design.

Ce quartier, bien que récent, a été un échec urbain et vital. Il y a bien plus à faire que simplement composer la forme et le dessin.



Lisbonne a grandi au fil du temps (Zeitgeist). Au fur et à mesure que le temps passait de différentes manières (quels esprits et quels signes du temps !), il errait dans des directions et des lieux différents. ...étais-je confus ?.

Mais elle a su bien se répandre dans l'espace qu'elle occupe actuellement avec la lente sagesse de la mémoire des hommes.
À travers les différents espaces et époques traversés par Lisbonne, la ville s’est également développée à différentes époques. Ces différents temps, que nous appellerons rythmes, nous savons et sentons qu'ils étaient nombreux et variés.
Ces dernières années, il y a eu des moments où elle a connu une croissance rapide et a échoué, d’autres fois plus récemment, elle a connu une croissance réussie.

Prenons le cas de l'Expo 98 et de l'échec retentissant dans la région de Benfica.
Par curiosité, remarquez comment à Séville, pour le même programme d'exposition internationale, le concept a échoué.
À Lisbonne, au Parque das Nações, nous avons bien fait. Nous avons tiré les leçons de l'expérience de Séville et de l'expansion urbaine réalisée lors des Jeux Olympiques de Barcelone (1992).

Allez sur Google Earth et observez Lisbonne d’en haut. La ville s'étendit sur des collines et des vallées, d'abord très lentement. Remarquez-vous son épicentre d’expansion ? Oui, c'est là, dans le quartier de Castelo.



Voyager à Lisbonne, deviner dans chaque quartier l'époque de sa croissance et les tendances et influences du temps et de l'histoire, est une aventure passionnante et enrichissante. On y sent la ville islamique, la ville baroque, la ville néoclassique, la ville moderniste et ainsi de suite…



On dit que Lisbonne est un patchwork. On ajoute que c'est une couverture bien cousue…hein ! Euh ! Quelle habitude d'utiliser la couture pour expliquer les théories urbaines !

La ville a su grandir et s'étend sur un lit, pardon, sur un tissu,,,uff !..dans un territoire magnifique !

Bien sûr, le site a été bien choisi et pour lequel tous nos ancêtres se sont battus, n'est-ce pas ?

Alors, si les rues, les routes et les trottoirs qui nous permettent de circuler sont les veines de ce grand corps qu'est la Ville, quels sont les bâtiments qui bordent ces veines (les rues) et s'imposent sur l'espace public ?

Les maisons et les bâtiments, pouvons-nous dire en utilisant une simple métaphore, sont les organes essentiels de votre grand organisme. Ils sont le lieu où nous vivons, où nous exerçons nos fonctions et où nous profitons des moments cruciaux de notre vie.



Final. Si l'on plaisante et dit qu'une ville est comme une grande maison, dans laquelle les pièces sont les maisons de la ville et les couloirs sont les rues, on se rend compte que chaque pièce, ou plutôt chaque maison, représente cet espace fondamental de multiples besoins vitaux. On s'est vite rendu compte de l'importance d'un espace de refuge, de vie, de rêve, de travail, à l'abri des agents atmosphériques, du bruit et de la curiosité des autres...


Nous sommes tous conscients de l’importance de l’espace qui nous abrite, que nous appelons aussi notre chez-soi. Maison simple ou collective, pour une ou pour plusieurs !

Espace habitable, privé ou public, représentatif, symbolique ou de grande utilité, comme une école, une caserne, un hôpital ou un palais, une cour ou une église.

La distribution des concepts, des fonctions et de toutes les structures et réseaux complexes, des intérêts physiques aux intérêts subjectifs et psychologiques dans une harmonie dynamique, est la clé du succès dans une ville.



Si ce ne sont pas seulement les architectes qui doivent construire une ville, dans un bâtiment, eux et le client ou le promoteur sont les personnes fondamentales. Bien entendu, sa bonne exécution dépend aussi d’autres variables, mais ces chiffres sont essentiels dans la construction de ce scénario. On le répète, scénario.

Aujourd'hui, j'ai été rempli de nostalgie en remarquant les "maningues" (une expression de mon pays natal, mozambicain pour dire le plus) balade à vélo que j'ai eu le plaisir de faire pour des amis.
Et bien sûr, je veux continuer à concevoir de nouveaux circuits, toujours différents et montrant le contenu infini de notre ville de Lisbonne à tout le monde et surtout aux autres nouveaux amis que je souhaite rencontrer et rejoindre.

On m'a toujours conseillé de faire toutes ces visites pour les touristes comme si ceux qui nous visitent étaient une source de revenus et non des personnes sensibles comme nous tous et désireuses de connaître nos secrets et nos caractéristiques. Et évidemment, amusez-vous.
Alors, vous comprenez déjà mon ambition, celle qu'en plus des amis habituels qui accompagnent mes promenades depuis 4 ou 5 ans, en rassembler d'autres qui parlent d'autres langues et qui ont la même curiosité et envie de découvrir la ville que j'aime depuis de nombreuses années.












Olá caros amigos!



Como sabem queremos transmitir aos amigos, com base num tema cultural, o prazer de pedalar pela cidade e demonstrar que também é possível deslocar-mo-nos por ela com facilidade e segurança.

E como tenho a mania que sou arquiteto vou dissertar como se estivesse à mesa do café com os meus Amigos :)
 Então:
Até há pouco tempo pensava-se que a Cidade era desenhada na mesa do arquitecto. Mas em 1972, a demolição do conjunto habitacional Pruitt-Igoe do azarento Arq. Minoru Yamasaki (o mesmo que concebeu as Torres Gémeas), foi considerada por muitos teóricos da Arquitectura e Urbanismo como o momento de tomada de consciência de que a Cidade deveria ser concebida por equipas multi funcionais (sociólogos, economistas, geólogos, historiadores, investidores políticos…) respeitando assim muitas valências para além do desenho.

Aquele bairro, apesar de recente, tinha sido um fracasso urbanístico e de  vida. Há muito mais a fazer para alem da composição da forma e do desenho.


Lisboa cresceu através do tempo (Zeitgeist). Com o tempo do tempo de diferentes modos (os tais espíritos e sinais do tempo!), e divagou em diferentes direcções e lugares. ...fui confuso?..

Mas soube espalhar-se bem no espaço que actualmente ocupa com a sabedoria lenta da memória dos homens.

Pelos vários espaços e épocas por que passou Lisboa, a cidade foi crescendo também a vários tempos. Estes vários tempos, que chamaremos de ritmos, sabemos e sentimos que foram muitos e variados.
Nos últimos anos houve alturas que cresceu rápido e falhou, outras mais recentes cresceu com êxito.

Veja-se o caso da Expo 98 e o rotundo falhanço na zona de Benfica.
Por curiosidade repare-se como  em Sevilha, para um mesmo programa de exposição Internacional, o conceito falhou.
Em Lisboa, no parque das Nações, estivemos bem. Aprendemos com a experiência de Sevilha e com a expansão urbana efectuada aquando dos Jogos Olímpicos de Barcelona (1992).

Vão ao Google Earth e observem Lisboa de cima. A cidade espalhou-se por montes e vales, primeiro muito lentamente. Notam o seu epicentro da expansão? Sim. Está aí, na zona do Castelo.


Percorrer Lisboa adivinhando em cada bairro a época do seu crescimento e as tendências e influências do tempo e da História é uma aventura empolgante e enriquecedora. Conseguimos sentir a cidade islâmica, a cidade barroca, a cidade neoclássica, a cidade modernista e por ai fora…



Diz-se que Lisboa é uma manta de retalhos. Acrescentamos que é uma manta bem cosida….eh! eh! Que mania esta de recorrermos à costura para explicarmos teorias urbanísticas!

A cidade soube crescer e espreguiça-se numa cama, perdão, num tecido,,,uff!..num território magnífico!

Claro que o sítio foi bem escolhido e disputado por todos os nossos antepassados, não é verdade?

E assim, se as ruas, vias e passeios que nos permitem circular são as veias desse grande corpo que é a Cidade, o que são os edifícios que ladeiam as tais veias (ruas) e se impõem no espaço público?

Casas e edifícios, podemos dizer recorrendo a uma mera metáfora, são os órgãos essenciais do seu grande organismo. São o lugar que habitamos e onde exercemos funções e onde desfrutamos os momentos capitais das nossas vidas.


Concluindo. Se brincarmos e dissermos que uma cidade é como uma grande casa, em que os quartos são as casas da cidade e os corredores as ruas, percebemos que cada quarto, ou melhor cada casa, representa esse espaço fundamental das múltiplas necessidades vitais. Apercebe-mo-nos rápido da importância de um espaço de refúgio, de habitar, de sonhar, de trabalhar, abrigados dos agentes atmosféricos, dos ruídos e da curiosidade alheia...


Todos temos consciência da importância do espaço que nos abriga a que chamamos também casa. Casa simples ou colectiva, de um ou para muitos!

Espaço habitável, privado ou público, de representação, simbólico ou de grande utilidade, como uma escola, um quartel, um hospital ou um palácio, tribunal ou igreja.

Distribuir os conceitos, as funções e todas as estruturas e redes complexas, desde os interesses físicos aos subjectivos e psicológicos numa harmonia dinâmica, é a chave de êxito numa cidade.


Se não são só os arquitectos que devem construir uma cidade, num edifício eles e o cliente ou promotor são as pessoas fundamentais. Claro que a sua boa execução depende também de outras variáveis, mas estas figuras são imprescindíveis na construção desse cenário. Repetimos, cenário.

Hoje enchi-me de nostalgia quando percebi os "maningues" ( expressão da minha terra, Moçambicana para dizer muitos) passeio de bicicleta que já tive o prazer de realizar para os Amigos. 
E claro, desejo continuar a desenhar novos passeios, sempre diferentes e mostrar os infinitos conteúdos da nossa cidade de Lisboa a  todos e sobretudo a mais outros novos Amigos que desejo conhecer e  juntar. 

Sempre me aconselharam a fazer todos estes passeios para turistas como se quem nos visita fosse uma fonte de receitas e não pessoas sensíveis como todos nós e avidas de conhecer os nossos segredos e características. E divertirem se evidentemente.
Assim, estão já a perceber que ambiciono, que para alem dos habituais amigos que aparecem desde há 4 ou 5 anos nos meus passeios, juntar outros que falem outras línguas e que tenham a mesma curiosidade e desejo de conhecer a cidade que  amo há muitos anos  

Rota por Lisboa Gráfica_30 de Abril (Domingo)
Passeio suave de bicicleta por Lisboa com a  colaboração e participação do Mestre Arquitecto Professor Manuel Graça Dias
Rota pelos Palácios Pombalinos _ 14 de Maio ( Domingo )

Périplo pela obra do arquitecto Tomás Taveira_ 11 de Junho ( Domingo)

Pelos Limites de Lisboa ( inclui Bairros Sociais)_9 de Julho( Domingo)

Obs: Todos estes cartazes ( menos um) foram concebidos por o arquitecto e cineasta Mário Lopes



















1 comentário:

  1. Há dois cartazes da rota,dos poetas porque realmente foram realizadas duas rotas em datas diferentes :)

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