Cidade/Ville


Qu'est-ce qu'une ville ?
Comment est-il constitué ? A quoi sert une rue ? … A quoi sert une règle, un code, une norme ?
... Les normes, les règles, les lois, vont-elles à l'encontre d'habitudes bien ancrées ou nous libèrent-elles de comportements référencés et primaires ?... Ou bien !
Et où se rassemblent des personnes de races, de croyances, d’idées, de religions et de couches sociales multiples, si ce n’est dans une ville. D’où une grande partie de sa fascination.
C'est de ce mélange que peuvent surgir des conflits... Et quelle explosion créative et innovante peut également se produire ?
La ville est un produit de l’être humain et sa condition essentielle est qu’elle digne et valorise l’être humain.

Pour que chacun vive harmonieusement, il faut produire et savoir gérer.
Gérer, créer des règles, savoir les administrer et vivre avec elles, voilà le meilleur représentant du civisme.
Ce n'est pas un hasard si les Allemands ont remporté la Coupe du monde ! C'est un pays de règles. Ou du bon sens dicté par la réflexion ? J'ai fait du roller et du vélo dans certaines villes allemandes.
Si l'on respecte toujours les plus vulnérables, le code de la route peut être fermé au cycliste, à moins qu'il ne connaisse pas les règles de base de la circulation sur la voie publique et qu'il ait besoin d'un policier pour s'entendre avec un autre cycliste, avec un patineur ou un piéton!
...Après, la ville, c'est le changement, la mobilité, la fraternisation et le respect de la différence...
Modifier les habitudes et les attitudes.
Créer la ville idéale où le plus important, ce sont les gens et ce qu'ils se transmettent.
J'hésite vraiment à aller sur Google et à demander quelle est la définition d'une ville. Mais oui, seulement avec la conscience d'un architecte et d'un citoyen, de l'idée que je me fais, je dirai que c'est ça une ville. ...Transformation, diversité, expérimentation. Audace, exhibition, « voyeurisme ». Sécurité, pragmatisme et surtout liberté.
Enfant, ce qui me séduisait, c'était la ville. Le terrain était quelque chose d'anodin, de rudimentaire. ...C'était le lieu à transformer, c'était le dépôt de matières premières pour compléter tous les conseils destinés à la transformation.
Modifier pour progresser. Expérimenter, étudier, concevoir étaient synonymes de ville.
Quand j'ai grandi, c'est-à-dire quand j'étais adolescent, j'ai ressenti un énorme enchantement qui rayonnait de magnétisme pour tous les gens, pour toute la grande diversité d'individus que contient une ville.
Dans les campagnes, les habitants maintenaient des dynamiques de travail mais étaient statiques dans leurs positions sociales de transformation, ils les regardaient presque avec terreur !... l'inaltérabilité prévalait... c'est ce que je ressentais. La fascinante pratique du VTT était loin d'être venir, ce qui exigeait des sentiers sinueux loin du progrès !... - "L'année prochaine, quand ils viendront ici, ils auront tout cela goudronné" - Nous dit la dame vêtue de noir et portant sur la tête un énorme fagot de bois de chauffage accueil hospitalier. ....- Nous avons croisé les yeux et bien sûr effacé ce beau sentier de la carte des aventures futures !
Et aujourd’hui, pour moi, la ville doit être une question d’équilibre, de mouvement, de recherche de stabilité dans le contrôle incontrôlé de l’ambition et du progrès.
Je suis convaincue qu'il faut savoir vivre avec cette multiplicité de tout... Être ou réfléchir. Et donnez la liberté à chacun sans les absurdités complaisantes et égocentriques de cette phrase bacoco politiquement correcte !...
"Ma liberté s'arrête là où commence la liberté des autres"... Ce que révèle cette phrase sans tenir compte de la connaissance, de l'intelligence, du bon sens et du contrôle des instincts animaux par l'affabilité, le respect et l'amour, c'est une idée de norme pour un équilibre social jugé précaire, quelque peu précaire, voire incohérent !
Mon éducation m'a obligé à m'agenouiller et à réfléchir, à prier... Cela m'a donné la foi pour croire à la rédemption des idées des hommes liées à tous les rêves qui seront inventés.

C'est là que j'imagine que réside l'excellence humaine.
Je ne veux pas de la ville uniquement pour mes amis cyclistes.
Je n'ai jamais pensé, même lorsque j'ai été victime d'atrocités envers mon maigre véhicule à pédales, qu'il fallait éradiquer les automobilistes...
J'apprécie la différence, j'assume la liberté de chacun et je respecte la capacité intellectuelle, car je sais que de là viendra le contrôle des méchants, l'arrogance et tous ces 7 péchés capitaux que l'Église catholique s'entête à énumérer.
Je recherche un bien-être basé sur l'harmonie et la diversité.
Nous sommes en août, de nombreuses voitures ont quitté la ville. Et n'est-ce pas que les piétons, les cyclistes et les autres humains dont la mobilité est compromise par l'adversité, la distraction et le pouvoir ne sont pas plus vulnérables ?
Les conducteurs sont plus distraits car ils ont moins de points et de situations sur lesquels se concentrer et ont beaucoup plus d'espace pour accélérer et démontrer le potentiel des machines !...
Il y a deux ans, dans une ville où il n'y avait presque pas de voitures, un automobiliste s'est laissé distraire et, au milieu de la route, a coûté la vie à notre jeune et cher ami Fernando (un autre athlète) dans une collision frontale barbare... Et en effet, tout au long de ce mois d'août, avec les situations dangereuses qui m'accablent, j'ai pris conscience du grand danger du déséquilibre d'une urbanité complexe, pleine, diversifiée... Mais en ces chauds mois d'été, avec le « siège " de ses usagers sur les plages, devient déséquilibré et peut devenir mortel et fou.


BONS RENDEMENTS en voiture, moto, patins à roulettes, scooter, vélo ou autre ! :)
Eliseu 2015 (oui, une ville est aussi utile pour tout cela - VILLE, la plus grande invention de l'homme selon Manuel Graça Dias)








O que é uma cidade?
Como é que ela se constitui? Para que serve uma rua? … Para que serve uma regra, um código, uma norma?
... Normas, regras, leis, vão de encontro a hábitos enraizados ou libertam-nos de comportamentos referenciados e primários?... Ou!
E onde mais se congregam sujeitos de múltiplas raças, credos, ideias, religiões, estratos sociais, senão numa cidade. Daí muito do seu fascínio.
E dessa mistura que conflitos podem advir... E que explosão criativa e inovadora pode também acontecer?
A cidade é produto do ser humano e é sua condição essencial que dignifique e valorize o ser humano.

Para todos viverem harmoniosamente é necessário produzir e saber gerir.
Gerir, criar regras, saber administrá-las e viver com elas, eis o expoente máximo de uma boa cidadania.
Não é por acaso que os alemães ganharam o mundial! É um pais de regras. Ou de bom senso ditado pela reflexão? Já andei de patins e de bicicleta em algumas cidades alemãs.
Se respeitarmos sempre o mais vulnerável o livro das regras do código da estrada pode fechar-se para o ciclista, a não ser que ele não saiba as regras básicas de circular na via publica e necessite de um policia para se entender com outro ciclista, com um patinador ou um peão!
...Depois a cidade é mudança mobilidade, é confraternização e respeito pela diferença...
Modificar hábitos e atitudes.
Criar a cidade ideal onde o mais importante são as pessoas e o que elas transmitem umas ás outras.
Resisto mesmo a ir ao  Google inquirir qual a definição de cidade. Mas sim, só com a consciência de arquitecto e cidadão, da ideia que tenho para mim, direi que uma cidade é isso. ...Transformação,  diversidade, experimentação. Arrojo, exibição, "voyeurismo". Segurança, pragmatismo e, sobretudo, liberdade.
De miúdo o que me seduzia era a cidade. O campo era algo inócuo, rudimentar. ...Era o lugar carente de transformações, era o deposito das matérias primas para o complemento de todas as assessorias que visavam a transformação.
Modificar para progredir. Experimentar, estudar, projectar, eram sinónimos de cidade.
Quando cresci, ou seja já adolescente, sentia um enorme encantamento a raiar o magnetismo por todas as pessoas, por toda aquela grande diversidade de indivíduos que uma cidade contém.
No campo os habitantes locais mantinham dinâmicas no trabalho mas erram estáticos nos posicionamentos sociais de transformação, viam-nos quase com terror!.. a inalterabilidade prevalecia... era o que sentia.Longe estava para vir a pratica fascinante do BTT,que exigia trilhos sinuosos e distantes do progresso!... - "Para o ano quando cá vierem já vão ter tudo isto alcatroado"- Dizia-nos em tom de acolhimento hospitaleiro a senhora vestida de negro e que transportava um descomunal  feixe de lenha na cabeça.....- Cruzamos olhares e claro apagamos aquele belo trilho do mapa das próximas aventuras!
E hoje para mim a cidade tem que ser equilíbrio, movimentação, procura de estabilidade no controle descontrolado da ambição e do progresso.
Estou convencido que temos que saber viver com esta multiplicidade de tudo... De estar ou de reflectir. E dar liberdade a todos sem o disparate comodista e egocêntrico daquela frase bacoca politicamente correta!...
"A minha liberdade termina onde começa a liberdade do outro"... O que esta frase revela sem ter em conta o conhecimento, a inteligência, o bom senso e o domino dos instintos animais por meio da afabilidade, do respeito e do amor, é uma ideia de norma para  um equilíbrio social que é tido como inseguro, algo precário e até inconsistente!
A minha educação obrigou me a ajoelhar e a reflectir, rezando... Isso deu me fé para acreditar na redenção das ideias dos homens ligados a todos os sonhos que se irão inventar. 

É aí que imagino estar a excelência humana.
Não quero a cidade só para os meus amigos ciclistas.
Nunca pensei, mesmo quando vitima de atrocidades para com o meu parco veiculo a pedais, que os automobilistas deveriam ser erradicados...
Prezo a diferença, assumo a liberdade para todos e  respeito a capacidade intelectual, porque sei que daí virá o controle sobre o iníquo, a arrogância e todos esses tais 7 pecados capitais que a igreja católica teima em enumerar.
Primo pelo bem-estar com base na harmonia e na diversidade.
É Agosto, os muitos carros abandonaram a cidade. E não é que os peões, ciclistas e outros humanos com elementos de mobilidade comprometida com a adversidade, com a distração e com a potência estão mais vulneráveis?
Os automobilistas estão mais distraídos porque têm menos pontos e situações para se concentrarem e têm muito mais espaço para acelerar e demonstrar o potencial das maquinas!...
Foi há dois anos que um automobilista numa cidade quase sem carros se distraiu e a meio da via ceifou a vida do nosso jovem e querido amigo Fernando (companheiro desportista) em bárbaro choque frontal... E de facto durante todo esse mês de Agosto com as situações perigosas que me avassalaram percebi o grande perigo do desequilibro de uma urbanidade que se constitui complexa, cheia, diversificada... Mas que nestes meses quentes de Verão com o "sitiamento" dos seus utentes nas praias, fica desequilibrada e pode tornar-se mortal e louca.


BOAS VOLTAS de carro, mota,  patins, trotinete , bicicleta ou outro! :)
Eliseu 2015 (sim para tudo isto serve tambem uma cidade - CIDADE  a maior invenção do homem segundo Manuel Graça Dias )

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